34 %
des étudiants-es 2ELGBTQIA+ ne se sentent pas à leur place sur leur campus
La diversité de l’Ontario est l’une des plus grandes forces de la province. Sur les campus de niveau postsecondaire, nous devons comprendre les besoins uniques des étudiants-es en fonction des aspects de leur identité tels que la race, la culture, la religion, les difficultés physiques ou mentales, l’orientation sexuelle, etc., qui peuvent tous entraîner des expériences de marginalisation, de discrimination et d’inégalité d’accès aux ressources. Les considérations et les approches en matière d’équité doivent toujours être au premier plan de toute initiative du campus (c’est-à-dire les politiques et les programmes), qui répond aux besoins uniques des étudiants-es et soutient leur santé mentale et leur bien-être.
34 %
des étudiants-es 2ELGBTQIA+ ne se sentent pas à leur place sur leur campus
Les étudiants-es appartenant à des groupes méritant l’équité sont plus susceptibles d’être victimes d’exclusion, d’isolement et d’obstacles à l’accès au soutien en matière de santé mentale, tels que le racisme, la discrimination, l’insensibilité culturelle et la stigmatisation culturelle
Environ 27 %
de la population canadienne âgée de 15 ans et plus souffre d’au moins un handicap
Les déterminants sociaux de la santé (DSS) sont les conditions de vie qui influencent la santé des individus. Ils comprennent le statut autochtone, le handicap, la petite enfance, l’éducation, l’emploi, l’insécurité alimentaire, le genre, le logement, la race, l’exclusion sociale et bien d’autres choses encore. La prise en compte des DSS concerne 3 facteurs importants pour la santé mentale : l’absence de discrimination et de violence, l’inclusion sociale et l’accès aux ressources économiques. Pour plus d’informations sur l’intersection des DSS et de la santé mentale, consultez la trousse d’outils sur l’équité, la diversité et l’inclusion du CISMC.
L’humilité culturelle implique l’autoréflexion, l’écoute sans jugement et l’ouverture à l’apprentissage des autres et à leur sujet. Elle exige des individus qu’ils apprennent à connaître leur propre culture et leurs préjugés et constitue la pierre angulaire de la sécurité culturelle. La sécurité culturelle est un résultat de l’humilité culturelle, définie et vécue par ceux et celles qui reçoivent le service – ils et elles se sentent en sécurité. La sécurité culturelle exige de reconnaître que nous sommes tous porteurs d’une culture et que nous portons nos attitudes, nos croyances, nos hypothèses et nos valeurs, et repose sur un engagement respectueux qui peut aider les étudiants-es à trouver des voies vers le bien-être.
La pratique anti-oppressive est à la fois une théorie et une approche générale. Lorsqu’elle est définie comme une approche des questions sociales, elle se concentre sur la manière dont les grands systèmes créent et protègent les privilèges et le pouvoir non mérités dont jouissent certains groupes, tout en créant, maintenant et entretenant des conditions difficiles et inéquitables pour d’autres groupes de personnes. Ces conditions inéquitables créées par des systèmes plus vastes entraînent des déséquilibres de pouvoir entre eux. La pratique anti-oppressive se concentre sur les expériences des groupes qui méritent l’équité pour construire des structures et des systèmes qui fonctionnent pour tout le monde, reconnaître l’oppression qui existe dans notre société/espace, viser à atténuer les effets de l’oppression, éventuellement égaliser les déséquilibres de pouvoir qui existent entre les personnes, et reconnaître que toutes les formes d’oppression sont interconnectées d’une manière ou d’une autre. Pour en savoir plus sur la pratique anti-oppressive dans le domaine postsecondaire, consultez la trousse d’outils sur la pratique anti-oppressive du CISMC, première partie et deuxième partie.
Yes, the New Student Orientation Package includes guidance on recognizing when a friend may be struggling with their mental health and how to support them through the More Feet on the Ground Course. It provides key signs to look for, such as changes in behavior, withdrawal from social activities, or expressions of distress. The package also outlines how to have compassionate conversations, offer support without overstepping boundaries, and connect a friend to appropriate campus resources. While it doesn’t have all the answers, it serves as a starting point to help you feel more confident in supporting those around you while also recognizing your own limits.
La première partie de cette trousse d’outils est conçue pour aider les personnes qui soutiennent…
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