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Promouvoir la santé et l’éducation à la prévention, à la déstigmatisation et à la réduction des méfaits liés à la consommation de substances
- Par exemple, encourager à tester les substances, à ne pas utiliser de substances inconnues, à trouver des moyens d’atténuer les effets et à consommer de manière responsable.
- Comprendre la nature complexe de la dépendance aux substances et ses chevauchements avec d’autres problèmes de santé mentale.
- Intégrer la réduction des méfaits dans le programme d’études des étudiants-es des programmes liés au travail de première ligne (Estreet et al., 2017).
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Proposer des programmes et des initiatives accessibles au corps étudiant
- Accessibles – les étudiants-es sont informés-es et les programmes sont culturellement sûrs et confidentiels.
- Accès facile aux salles et aux lieux de dégrisement, augmentation des services de transport lors de certains événements tels que la fête des anciens-es étudiants-es, la Saint-Patrick ou Halloween, accès à de l’eau et à des en-cas, et soutien par les pairs.
- Rendre la naloxone et les produits de réduction des méfaits largement disponibles.
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Encourager une culture de communauté et de sécurité
- Former les étudiants-es et le personnel à jouer un rôle de spectateur actif, à utiliser la naloxone, à la RCP (réanimation cardio-pulmonaire) et à l’identification des surdoses.
- La formation à la réponse aux surdoses et à la réduction des méfaits devrait être un élément obligatoire de l’orientation, y compris de l’orientation en résidence.
- Offrir des moyens sûrs et confidentiels de signaler les cas de surdoses.
- Fournir des soutiens sans jugement et réduire le langage nuisible entourant la consommation de substances. Une fiche de conseils sur comment être un-e allié-e est disponible ici.
- Investir dans des campagnes de réduction de la stigmatisation menées par des pairs, dans des programmes de soutien, de rétablissement et de réduction des méfaits sur les campus.
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